CHARDONNERET ELEGANT

Chardonneret élégant ou Carduelis Carduelis.

Citation :

D'un vol aux courtes ondulations qu'éclairent les taches vives, blanches et jaunes des ailes, la bande de Chardonnerets s'abat sur la haute végétation des barbanes et des centaurés, s'accrochant aux capitules épineuses en voletant. Leur bec aigu permet à ces oiseaux d'explorer sans craintes ces plantes dangereusement armées.
Assez rarement seuls, les Chardonnerets s'associent en bande et se mêlent aux troupes de Linottes. Cet instinct sociable persiste pendant la période de nidification, où ils s'installent en petites colonies dans les jardins et les vergers, se contentant de défendre un territoire réduit aux alentours du nid. Dès la fin de l'hiver, les couples se sont formés dans les groupes errant en se caressant le bec. Plus tard, le mâle offrira rituellement de la nourriture à la femelle avant que tous deux se préoccupent de bâtir le nid, tout à l'extrémité d'une branche, au dessus du vide. les vieux arbres fruitiers, dont l'écorce rugueuse est couverte de lichen, qui sert de camouflage du nid, sont choisis de préférences aux arbres à feuilles persistantes. Le nid est un petit chef d'oeuvre.

Identification: plumage bariolé ; queue noire et blanche ; ailes noires avec une large bande jaune ; masque rouge ; reste de la tête blanc et noir ; sexes identiques. Les jeunes sont grisâtres, striés de brun foncé, et n'ont pas de rouge ni de noir à la tête.

Nidification: la femelle édifie une coupe d'herbe fine, de racines entrelacés et tissées de soies d'araignées et de cocons, de crins et de fils. Elle la garnit de laine, de duvets végétaux et de plumes et dissimule les formes extérieures en incorporant souvent du lichen aux parois ; ponte, en avril, de 4 à 6 oeufs bleu pâles tachetés de brun-rouge et de violacé. La femmelle couve, nourrie par le mâle. les jeunes s'envolent à 2 semaines ; deuxième ponte en juin-juillet, parfois une troisième.

Régime: graines de composées et autres plantes, semences de bouleau, d'aulne, de platane et de conifères ; quelques insectes.

Sources : Sélection du Reader's Digest, Paris-Zurich, 1971

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Au 300mm Sam ?

GG

Et non GG, malheureusement, a mon plus grand regret.
La première : 200mm, 1/80sec, F/6.3, 100ISO (monopode)
La deuxième : 200mm, 1/100sec, F/5.6, 100ISO (monopode)

Autant te dire que la photo est sérieusement croppée (d'ou la qualité médiocre. Netteté, bruit...). Pour arriver à ce "pseudo" résultat, obliger d'extrapoler un RAW de 6 MP, vers un JPEG de 24 MP pour enfin cropper un 600x400...t'imagines un peu comment la photo a été triturée ? Ca aurait tellement été plus simple avec un 300mm ou un 400mm digne de ce nom....Autant dire que je peux meme pas espérer la tirer sur du 10x15...